Michel Dizerens-Poget
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Adieu Jacqueline
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Une très grande amie des arts et des lettres, comme elle le souhaitait depuis quelque temps, vient de vivre "l'Eternité ! Membre d'Honneur de notre Association Le SCRIBE depuis sa création en l997, elle avait très souvent fait partie du jury du Scribe, puis du même, mais avec une nouvelle dénomination grâce à l'appui efficace de la Ville de Moudon, puisque que le nom de notre généreux sponsor était associé à celui de SCRIBE d'Or.
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Membre active de nombreuses associations artistiques, elle fut également professeur de musique, de ballet, de rythmique, et de chorégraphie. Ecrivaine et journaliste, elle a été éditée de nombreuses fois. Son dernier éditeur avait été les "Editions à la CARTE" dirigées par Jo Lamon. J'avais fait connaissance avec Jacqueline lors du concours annuel de l'Association Vaudoise des Ecrivains (AVE) sur le thème de "Voyage dans les airs". Jacqueline avait remporté le premier prix. C'était à la fin des année l98O. Avec sa démarche gracieuse de danseuse, elle ne passait jamais inaperçue. Rapidement, elle répondit à ma demande de faire partie du jury de l'Académie Européenne des Arts, section littéraire que je venais de créer. Dans la foulée, elle m'accompagna lors de la création du SCRIBE, en 1997.
Lors des derniers concours du "SCRIBE D'OR", nous nous étions rendus chez elle, à Larringes-sur-Evian avec Mousse Boulanger et Francis GEORGE-Perrin, pour établir le classement final. Sa petite demeure remplie de livres du rez au premier étage était son antre... de création. Une véritable "bonbonnière" où nous prîmes l'apéritif. Il n'y avait d'ailleurs de la place que pour nous quatre personnes. Formidable Jacqueline. Enthousiaste et compétente dans son travail de membre de notre jury.
Le quotidien 24 HEURES, par la plume de Jean-Pierre Pastori, lui a rendu hommage le 5 février dernier. De même que le Journal "Le Républicain", où sa verve faisait merveille dans sa ville natale d'Estavayer-le-Lac.
MERCI Jacqueline pour tout ce que tu as apporté à nos associations susmentionnées.
Michel (Didi) Dizerens-Poget
Parution du 45ème ouvrage de Michel Dizerens-Poget:
Ce polar fait suite à celui intitulé "Cours d'eau meurtrier". L'auteur utilise tous les moyens fluviaux mis en place dans les années précédant la Fête des Vignerons de 2O19. Ainsi que toutes les infrastructures construites après cette période dans le domaine de la navigation fluviale. Puis, des policières rejoignent le trio de base du commissaire Justin Brindoux (Voir le roman susmentionné publié en 1999). Des traités internationaux rendent le travail plus efficace. Il n'y a alors plus de frontières pour les péniches et les chalands. Seul bémol: les gangs ont toujours une longueur d'avance sur la police.
A la fin janvier de cette année, le monde est en ébullition avec l'arrivée soudaine du Coronavirus.. Toutes les frontières se ferment. Le Covid-19 paralyse notre pays qui est mis sous un semi-confinement par le Conseil fédéral. Plusieurs centaines de décès sont à déplorer. Ce sont alors trois mois de fortes restrictions. Durant ce laps de temps. des complotistes nient l'évidence. Du travail supplémentaire pour le "Crim"!
(Editions du SCRIBE)
